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La clôture en bois offre un cachet incomparable à tout jardin ou parcelle, et contribue à l’embellissement de la demeure. Toutefois, le bois autoclave va nécessiter un traitement et un entretien régulier pour éviter sa dégradation avec le temps, et lui permettre de résister au soleil, à l’humidité et aux taches.
1) Pourquoi faut-il traiter le bois de la clôture ?
En règle générale, les lames ou panneaux de bois destinés à la construction de clôtures ont déjà reçu un premier traitement “autoclave”, contenant essentiellement un fongicide. Celui-ci apporte une protection contre les insectes et les moisissures. Néanmoins, il n’offre aucune garantie contre les rayons UV et l’humidité, qui sont les principaux ennemis du bois. D’où la nécessité de traiter la clôture avec de la peinture ou de la lasure.
Le traitement d’une clôture en bois est donc indispensable pour maintenir son apparence et prolonger sa durée de vie. Pour cela, il faut commencer par le couvrir des bons produits !
2) Peinture ou lasure : protégez votre clôture en bois !
Utilisez des solutions imperméables à l’eau, mais perméables à la vapeur, telles que les peintures à l’eau microporeuses, qui protègent efficacement le bois contre la pluie tout en le laissant respirer durant les fortes chaleurs. Elles sont aussi considérées comme plus saines pour l’environnement, car contenant moins de solvants. Ce type de peinture empêche l’eau de s’infiltrer, mais permet à l’humidité naturelle du bois de s’échapper. Cela provoque des variations moins fortes de la structure, et réduit le risque de dégradation avec le temps.
La peinture a cependant l’inconvénient de couvrir le support et de masquer les veines du bois. Si vous préférez conserver au maximum l’aspect naturel, optez pour une lasure. Étant elle-même microporeuse et hydrofuge, elle apportera une protection identique. La lasure, qui est posée en deux couches successives, traite et teinte simultanément le bois.
Bien entendu, il faut tenir compte de l’essence choisie pour la clôture. Les bois plutôt acides, gras ou résineux vont nécessiter en supplément la pose d’une sous-couche pour un résultat optimal. Ce primaire d’accrochage aura pour fonction de renforcer l’adhérence de la peinture ou de la lasure, et d’homogénéiser le support. Certains primaires sont conçus en outre pour empêcher la remontée de tanin, d’humidité, ou de taches depuis le sol.
Dans tous les cas de figure, vous aurez besoin du même outil. La peinture, la lasure et le primaire se déposant de préférence avec un pinceau à poils longs. La clôture doit être propre et sèche avant l’opération. N’oubliez pas de protéger le sol avec une bâche !
3) La solution pour éviter l'entretien : le bois composite
Certaines clôtures présentent l’avantage de ne demander aucun traitement au moment de leur pose. C’est le cas des solutions en bois composite qui vous épargnent ce tracas tout vous permettant de créer de l'intimité avec une clôture de jardin moderne.
Avec une clôture en bois composite, les travaux cités plus haut ne sont pas nécessaires. Les lames sont imperméables, résistantes aux éléments extérieurs et à l’encrassement, et donc très faciles à nettoyer (avec une éponge). L’apparence et le toucher sont identiques à ceux du bois naturel, mais sans aucun de ses inconvénients. Le bois composite ne se décolore pas, résiste aux impacts et à la flexion, et récupère après déformation.
Les lames UltraProtect proposées par neowood peuvent supporter sans problème des températures extrêmes, une humidité élevée, ainsi qu’un fort ensoleillement. Elles ne sont pas altérées par les rayons UV, même après des années d’exposition. Imputrescibles, elles résistent autant à la pourriture qu’à la moisissure et aux termites. Impossible de tacher ces lames recouvertes d’un bouclier protecteur à 360 degrés, tandis que les éventuelles marques d’abrasion ou rayures tendent à s’estomper avec le temps et la chaleur !
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